Sonia, une correspondante familière de ce bloc notes m’a confié, directement sur mon adresse de courriel , le texte qui suit, témoignage très personnel. Je publie tel quel, l’offrant ainsi à tous les commentateurs.
Psychomotricienne dans les écoles maternelle et primaire, ou « amuseuse d’enfants » 1983-84 en Haute Garonne. Formation et pratique. Témoignage sur un métier qui n’a pas perduré malgré toutes les vocations qu’il avait soulevées.
En racontant des souvenirs, on peut être tenté d’enjoliver ou de noircir des faits précis. Néanmoins la narration reste un témoignage si l’auteur est de bonne volonté. Je vais rapporter quelques épisodes de mon dernier métier, ceux qui se situent, dès son apprentissage. Avec intérêt, je m’étais lancée dans la formation de psychomotricienne dans les écoles publiques. C’était en 1983-84.L’Education Nationale a souhaité à un moment avoir deux rééducateurs, un en psychomotricité et l’autre en psychopédagogie, accompagnant un psychologue scolaire dans les écoles maternelles et primaires. Cette petite structure s’appelait un G.A.P.P.